comment on fait pour postere un doc word
v faire du copier coller et puis c'est tout !
Poléco, rapport de la banque nationale de Belgique :
Chapitre 1- environnement international.
- Essoufflement croissance USA : loyer
- Croissance en Europe :
- Croissance mondiale : tirée par la Chine
- Augmentation du prix des matière première, encore plus forte que accroissement des prix des matières énergétiques. Indice produit de base +21% matière premières énergétiques : +19%. pourquoi ? demande de la chine//>
- Accroissement du prix du pétrole jusqu’en août (niveau record de 78$) puis stabilisation autour de 60$.
- Inflation limitée dans les grandes économies. Quoique plus forte aux USA, notamment due au prix du pétrole jusqu’en septembre.
- Relèvement taux d’intérêts :léger aux USA (5,25%), fin de la politique des taux nuls au Japon (00,25). Relèvement taux en Europe (3,25%) et aux RU (5%)
- Amélioration des finances publiques dans la plupart des grandes économies, limitation des déficits. diminution du besoin de financement des gouvernements.
- Aggravation du déficit de la balance courante américaine – 800 milliards$
- Excédent extérieur des pays OPEP (+540 milliards$), de l’Asie et surtout de la chine +200 milliards$. :
- OPEP : que font-ils de leurs « petro $ » ? Investissement de portefeuille et accumulation de réserves (Russie). Beaucoup de placement vers les USA, beaucoup de pays exportateurs ont liés leur monnaie au $ et vendent leur pétrole dans cette monnaie. De plus ils reçoivent des investissements directs de la part de beaucoup de pays étrangers. Importation des producteurs en provenance de la Chine a triplé de 1995 à 2005. Ces importations que font les pays du petrole sont aussi très avantageuses pour la zone euro qui « récupère » 74cents en exportant sur le $ qu’elle paye pour du pétrole.
- Affaiblissement continu du $. Notamment volonté de diversification des réserves officielles de certains pays disposant de grandes réserves en $. Ralentissement de la croissance aux USA
- Appréciation de l’€. car confirmation de la croissance
Les USA :
- croissance 3,3 %
- inflation en légère baisse mais relativement haute car prix du pétrole et des loyers
- dépenses des ménages américains : 1ere source de croissance. Limitation du prix des loyers qui étaient exceptionnellement haut des deux dernières années. Epargne négative (désépargne) mais passe de 0,4 à 0,2%.
Le Japon :
- ressaisissement entamé en 2002 se poursuit
- croissance de 2,8% appuyée sur demande intérieure (investissement des entreprises).
- Déflation semble avoir prit fin mais IPC n’est pas encore toute à fiat à la hausse.
- Confiance chefs entreprises, développement crédit, élimination surproduction.
- Limitation formation brute de capital fixe des pouvoirs publics et peu d’investissement des ménages.
- Redressement du marché du travail mais faible évolution du pouvoir d’achat des ménages limitation M. détérioration des TE.
- Extérieur : limitation échanges avec USA compensé par augmentation avec Asie. Excédent extérieur de 3,8%.
- Durcissement politique budgétaire.
- Endettement public considérable que va alourdir le durcissement de la politique monétaire qui va inexorablement augmenter les taux d’intérêt à LT et donc augmenter le poids de la dette.
Chine :
- croissance portée par exportations et investissements +10,6%
- exportation + 22%
- investissements + 18%
- conso. Privée + 9,8%
- excédent de la balance des paiements : 8,3%du PIB
- taux d’épargne ménage : 30% du revenu (du aux absence de retraites, soins…)
- accumulation des réserves de changes en $ 1,012 milliards$
- augmentation des taux d’intérêts
Union Européenne :
Zone €
- accélération de la croissance à 2,5% car vigueur de la demande intérieure finale notamment grâce aux investissements
- Formation brute de capital fixe +5,5%. Haut niveau d’utilisation des facteurs de productions.
- Investissement progresse plus vite que la consommation
- Redressement graduel du marché du travail
- Confiance s’améliore dans certains pays ou sont engagés reformes structurelles. Envolé des prix des marchés immobiliers et boursier a pu augmenter la consommation.
- Investissement public et dépenses publiques croissent
- Exportation de biens et services augmentent, mais érosion part de marché ; contraste exemple entre Allemagne et Italie.
- Différences de croissances du PIB : en gros Allemagne et Italie reprise économique (le plus mauvais en matière de croissance restant le Portugal), accélération plus modérée de la croissance en Espagne en Irlande et en Grèce.
o Prix et coûts
- 2,2 % d’inflation, croissance plus faible des prix énergétiques qu’en 2005 (7 contre 10%).
- Ecarts d’inflation entre les pays de la zone euro a diminué Finlande plus faible Espagne plus fort.
o Balance des paiements
- déficit de 0,3 % du PIB, excédentaire en 2005.
- Due à la diminution du surplus des opérations sur marchandise
- Progression plus rapide des X que des M mais dégradation des termes de l’échange sous l’effet de l’augmentation des prix du pétrole
o Politique budgétaire
- recul du besoin de financement public (bonne conjoncture).
- Seul Italie et Portugal ont encore un budget déficitaire
- Parfois même excédent par rapport aux prévisions.
- Incertitudes quant à la durabilité de ces avantages
Autres pays de l’UE et pays candidats.
- croissance plus soutenue que zone euro, surtout PECO moyenne : 5,3%
- relance croissance UK.
- Suède Danemark : vive croissance soutenue par demande intérieur.
- PECO inflation supérieur à 2% (sauf pologne), baisse du taux de chômage
- Pays du pacte de Visegrad : déficit des finances publiques de plus de 3%
- Pays balte : finances publiques en équilibre, voir même excédent.
- Déficit de la balance des paiements dans la plupart des PECO, financement des déficits par capitaux étrangers
- Malte et Chypre, plus développés que PECO, n’ont donc pas la même croissance
- Entrée de la Slovénie dans l’€, 1er janvier 2007.
Bon courage pour le reste, et si quelqu’un a envie de prendre des notes sur les chapitre 4 et 5 ce serait hyper sympa.